
When the world needs us to sit together, listen and connect
We have the choice
We have the Choice est née d’une initiative citoyenne entreprise par Kristin Verellen et un cercle d’amis. Kristin Verellen a perdu son compagnon de vie, Johan Van Steen, lors des attaques dans le métro Maelbeek le 22 mars 2016. Dans un monde marqué par le durcissement, la polarisation, l’extrémisme et la violence aveugle, ils veulent contribuer à une culture d’inclusion et de dialogue.
Les cercles
Les cercles, accompagnés par des facilitateurs professionnels, proposent un temps de rencontre de qualité, un temps où l’on se pose et l’on peut partager avec d’autres ce qui vit en nous, en mots ou en silence.
En parallèle, We have the Choice développe des projets en soutien à ses missions.
Cercles prevus
« Nous contribuons tous à l’ensemble », a écrit Gerlinde Flo à Kristin Verellen. Elle exprime bien comment nous aimons mettre les cercles dans le monde: comme des rituels de guérison qui veulent contribuer à une société où nous sentons que nous sommes connectés les uns avec les autres. Vous êtes bienvenus pour participer aux cercles ouverts. Ici vous trouverez les cercles prevus.

« Merci d’avoir donné existence à cette forme de cercles, et de les organiser concrètement… C’est un baume au coeur de simplement s’asseoir ensemble, même en silence. Je suis émerveillée et reconnaissante de la force qui vous anime, et vous font transformer tristesse en action d’amour et de générosité.Merci.A bientôt.Patricia »
« Mettre des mots sur l’inacceptable, l’incompréhension, la douleur omniprésente. Ces cercles sont des exutoires à tous ces sentiments enfouis au plus profond de nous. Avancer, vivre avec mais sans jamais oublier : ces cercles rendent cela possible par le partage, le recueil. Merci à vous pour nous encourager à suivre cette voie, ne pas se renfermer et accepter. Marianne »
« Mon expérience des cercles est magique: Se re-lier ensemble, à soi-même et aux autres, exprimer dans le silence ou par la parole, puiser dans la sagesse intérieure et collective de la force sereine. Dorothy »